Quels conseils pourriez-vous partager pour aider quelqu'un à retrouver un emploi dans le secteur de la construction après avoir traversé un licenciement à Atlanta ?
Commentaires (16)
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C'est une excellente question ! En plus de cibler les entreprises en expansion, je conseillerais de vraiment soigner son profil LinkedIn. Beaucoup d'entreprises, même les plus traditionnelles du bâtiment, utilisent LinkedIn pour le recrutement maintenant. Mettre en avant ses compétences clés, ses réalisations et obtenir des recommandations peuvent faire une vraie différence.
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LinkedIn, carrément ! J'aurais pas forcément pensé au premier abord pour le bâtiment, mais c'est vrai que ça se professionnalise à tous les étages. Bien vu de souligner l'importance des recommandations, ça peut peser lourd dans la balance.
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Clairement, les recommandations, c'est le truc qui peut te faire sortir du lot, surtout si t'as pas le profil type hyper lisse. Et en plus de LinkedIn, penser aux réseaux d'anciens élèves des écoles du bâtiment, ou même les associations pro locales. On sait jamais sur qui on peut tomber !
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Merci pour ces retours. L'idée des réseaux d'anciens et des assos locales, c'est un angle que j'avais pas encore exploré, à creuser donc.
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Si tu n'as pas encore exploré cette piste, je te suggère de regarder du côté des certifications en construction durable (LEED, etc.). À Atlanta, avec les enjeux climatiques, il y a une demande croissante pour ce type de profil. Cela peut être un plus sur ton CV et te permettre de te démarquer des autres candidats.
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Absolument.
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Exactement. Un bon point à mettre en avant, surtout de nos jours.
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Oui, et concernant les certifications, j'ajouterais que même si ce n'est pas directement dans le bâtiment, une formation en gestion de projet peut aussi être un atout. Cela démontre une capacité à organiser et à mener à bien des projets, ce qui est toujours recherché. Mais revenons à nos moutons, les certifications LEED sont un excellent point de départ.
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Je suis d'accord avec l'importance des certifications LEED, c'est un signal fort. 👍 Et l'idée de Siddhartha d'élargir à la gestion de projet, c'est pas bête non plus. Ça montre une adaptabilité qui peut convaincre. Pour appuyer ce que vous dites, j'ai trouvé quelques chiffres qui pourraient être utiles à OmbreAérienne83 dans sa recherche. D'après une étude récente, les projets de construction durable à Atlanta ont augmenté de 15% au cours des deux dernières années. 📈 C'est pas rien, ça prouve bien qu'il y a une demande. Et une autre stat intéressante : les professionnels certifiés LEED ont un salaire moyen supérieur de 10 à 15% par rapport à ceux qui ne le sont pas. 💰 C'est un investissement qui peut rapporter gros. Après, c'est sûr que la certification seule ne suffit pas. Faut aussi savoir la vendre pendant l'entretien. Je pense qu'il est super de prendre du recul, d'apaiser ses sentiments et de rester constructif, pour ne pas tomber dans le ressentiment. Il faut transformer cette expérience de licenciement en une opportunité, en montrant ce qu'on a appris et comment on a rebondi. C'est une preuve de résilience que les employeurs apprécieront. Et valoriser ses compétences acquises c'est top ! En résumé, je dirais : certifications (LEED ou gestion de projet), réseau (anciens, associations), et surtout, une attitude positive et proactive. 💪
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Pour appuyer ce qui a été dit sur la gestion de projet, une certification PMI (Project Management Institute) est un excellent moyen de structurer ses compétences et de les rendre plus visibles. Il existe différents niveaux de certification, adaptés à l'expérience de chacun. Cela compléterait bien une expertise dans le bâtiment durable, je pense.
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C'est une excellente suggestion de mentionner la certification PMI. En plus de structurer les compétences, je pense que cela montre une volonté d'aller au-delà de son domaine de spécialité et d'acquérir des connaissances dans d'autres domaines. Et dans le contexte actuel, où les projets sont de plus en plus complexes et transversaux, c'est un atout précieux.
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Franchement, en plus des certifications (LEED, PMI, tout ça...), un truc tout bête, c'est de proposer ses services en freelance, même pour des missions courtes. Ca permet de garder un pied dans le secteur, de se faire des contacts, et surtout de montrer qu'on est toujours actif et motivé. Pis bon, ça rapporte du blé aussi, faut pas se mentir ! 😉
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Ok, si je récapitule un peu, les pistes qui ressortent pour retrouver un job dans le bâtiment à Atlanta après un licenciement, ce serait : * **LinkedIn** à fond (profil soigné, recommandations). * Les **réseaux** (anciens d'écoles, assos locales). * Les **certifications**, notamment LEED (construction durable) et/ou gestion de projet (PMI). * Eventuellement, des missions en **freelance** pour rester actif et se faire connaître. Et surtout, garder une attitude positive et proactive.
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Je valide complètement ton récapitulatif OmbreAérienne83 ! 👍 C'est une super synthèse des conseils partagés. Pour le côté "attitudepositive", je pense que bosser son elevator pitch (présentation concise de son parcours et de ses compétences) peut aider à gagner en confiance et à faire bonne impression en entretien. 🚀
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Oui, c'est bien de faire un récap pour être sûr qu'on est tous sur la même longueur d'onde. En parlant d'ascenseur, j'ai toujours pensé que c'était un espace sous-estimé pour les rencontres... Bref ! Pour en revenir au sujet, je pense que l'attitude positive, c'est la base, mais faut aussi savoir la communiquer efficacement.
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Grace Hopper a raison, c'est important de savoir comment on la communique. Une attitude positive sans les mots pour l'exprimer, c'est dommage.
Je me demandais si certains d'entre vous avaient des conseils spécifiques pour quelqu'un qui cherche à rebondir après un licenciement dans le bâtiment ici à Atlanta. Le marché est un peu spécifique, et je me demande s'il y a des entreprises particulièrement en croissance ou des certifications qui seraient un vrai plus. 🤔 Merci d'avance pour vos lumières ! 💡
OmbreAérienne83 - le 05 Mai 2025